Est-ce que la taille compte ?
Depuis le jour que j’ai lu Does size matter? Yes it does, j’ai commencé à me dire que ça vaut peut-être la peine de moderniser la mise en page de Camera Obscura. Maintenant, les vignettes des photos accompagnant les articles sont beaucoup plus grandes qu’auparavant, occupant toute la largeur de la colonne de texte. Je demande donc aux lecteurs : préférez vous la précédente mise en page avec des petites vignettes ou la nouvelle avec les plus grandes ?
Scènes momentanées étranges, dans des lieux considérés comme typiquement banals, par Michel Mazzoni
Dans son article Michel Mazzoni nous décris sa vision de la photographie et ses séries récentes : zones, fragments théories et ordinary landscapes. Une photographie souvent dépouillée et caractérisée par une certaine froideur et impartialité, le quotidien devient anonyme, les paysages interchangeables. Une photographie inspirée par les films de grands réalisateurs de cinéma des années soixante, tel Blow-up de Michelangelo Antonioni.
Texte et photos suivantes par Michel Mazzoni.
Deep Surface Reflections: les mannequins
Les mannequins ne sont pas la réalité de notre société, mais seulement le reflet de sa surface.
La mode, la façon de s’habiller, le soin de sa propre image, sont tous des aspects superficiels des société occidentales de consommation, mais tout de même permettent de tenir compte de son essence. Les mannequins sont un reflet de cet reflet. La rue est la surface de la ville, le reflet de la vie à l’intérieur des maisons et des bâtiments. La photographie elle-même est une représentation superficielle de la réalité, seule une réflexe de ce qui est sous la surface.
La série Deep Surfaces Reflections est une exploration visuelle qui rebondir entre ces différentes couches de surface et des réflexe.